Le CHR au printemps de l'archéologie

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Les printemps de l’Archéologie sont organisés tous les deux ans par l’association Archéolonna en lien avec la commune de Saint-Dizier. A travers ce festival, l’association souhaite proposer un rendez-vous permettant d’accroître l’engouement des festivaliers pour le patrimoine archéologique, local, régional, mais aussi plus éloigné.

Le thème sera “les Jeux Antiques” avec 3 volets : Cinéma, conférences et reconstitutions aux pieds des remparts de Saint-Dizier, avec des animations au Théâtre et au Stade Jacquin

Retrouvez-nous au cours de la 3e édition des printemps de l’Archéologie de Saint-Dizier les (14), 15 et 16 juin 2024.

Le Comité d’Histoire régionale sera présent au printemps de l’archéologie pour vous faire découvrir les acteurs de l’archéologie en Grand Est.

Faites connaître votre activité liée à l’archéologie (inscriptions jusqu’au 1er mars) :

Proposer une présence sur le stand pour faire connaître ma structure

Les Printemps de l'Archéologie 2024
Un réseau de l'Histoire et du patrimoine : l'archéologie en Grand Est

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A l’occasion de ces Journées mettant à l’honneur l’archéologie dans tous ses états, nous avons souhaité nous replonger dans nos archives et vous délivrer nos ressources archéologiques. Retrouvez ici : nos conférences en réécoute, les résumés d’intervention archéologiques, une carte interactive spécialement dédiée et un filtrage de notre annuaire afin de vous permettre de découvrir des pépites et sites archéologiques en Grand Est.

Découvrez également notre annuaire vous donnant accès aux acteurs archéologiques du réseau :

Accéder à l’annuaire filtré

“Un siècle après la fin de la Grande Guerre, quel est l’héritage présent en milieu forestier ?”

Par Frédéric STEINBACH, ingénieur forestier à l’agence de l’Office National des Forêts de Bar-le-Duc, correspondant ONF Patrimoine historique.

“La Première Guerre Mondiale, du fait des combats meurtriers qui se sont succédés a profondément meurtri les sols et sous-sols de la Région Grand-Est. Au lendemain du conflit, l’Etat, en créant les « zones rouges », a permis de sanctuariser une partie de ces vestiges, notamment en confiant le boisement de ces terrains à l’administration des Eaux et Forêts. Si les zones d’affrontements, bien identifiées, sont encore aujourd’hui présentes dans la mémoire collective de nos concitoyens, il n’en est pas de même pour les structures de l’arrière. Or, les nouvelles réflexions et axes d’études engagés à l’approche du centenaire se sont distanciés du volet « guerrier » de ce conflit, pour l’aborder sous d’autres angles, dont l’organisation des arrières fronts. Ce faisant, de nombreux territoires ont alors découvert un patrimoine tombé dans l’oubli. Les nouvelles technologies, tel les relevés Lidar ont également permis de révéler des vestiges oubliés tout en nous offrant une vision actualisée de ces palimpsestes. Un siècle après la fin de ce conflit, de nombreux vestiges sont parvenus jusqu’à nous, dans des états de conservations très divers, imposant aux forestiers leur prise en compte dans la gestion quotidienne au titre de la préservation du patrimoine.”

Les Journées d’Histoire Régionale de 2019, Promenons-nous dans l’Histoire, la forêt et les hommes.


“Recherches archéologiques et gestion forestière en forêt domaniale de Saint-Quirin”

Par Dominique HECKENBENNER, présidente de l’Association pour la Recherche Archéologique au Pays de Sarrebourg.

“Les fouilles et prospections en forêt domaniale de Saint-Quirin ont révélé la présence de nombreux vestiges de l’époque gallo-romaine, du Moyen Âge et de la période moderne (parcellaires fossiles, hameaux, nécropoles, sanctuaires, carrières, châteaux, villages disparus, charbonnières…). La plupart sont situés sur les plateaux entre 400 et 500 m. Ils sont généralement bien conservés sous le couvert forestier qui les a protégés depuis plusieurs centaines d’années. Cependant ils sont très peu enterrés et ils sont de ce fait très fragiles. Si l’un d’eux, le site de la Croix Guillaume, est protégé MH et a été mis en valeur, les autres sont menacés par l’exploitation forestière.

Depuis quelques années, nous avons donc mis en place avec l’Office National des forêts un protocole qui nous permet d’intervenir en amont. Concrètement l’ONF, nous fournit la liste des parcelles qui feront l’objet d’une exploitation et nous axons nos prospections sur ces parcelles. Un système de marquage et une cartographie permettent de localiser les sites à protéger et de ne pas faire passer d’engins forestiers sur les zones sensibles. Ainsi un débardage à cheval a été réalisé en 2017 à l’emplacement d’un chemin gallo-romain.”

Les Journées d’Histoire Régionale 2019, Promenons-nous dans l’Histoire, la forêt et les hommes.


“La forêt une ressource alimentaire”

Par Philippe MASSON, docteur en Histoire Moderne, chargé d’enseignement à l’Université de Lorraine

Il s’agira d’évoquer comment à travers les âges, de l’antiquité aux temps contemporains, la forêt fut utilisée par les populations comme un espace servant de réserve alimentaire, avec un usage distinct selon les classes sociales. Sur ce sujet, si la Région Grand Est ne présente pas de caractéristiques singulières, elle est représentative d’un usage généralisé.

Les Journées d’Histoire Régionale 2019, Promenons-nous dans l’Histoire, la forêt et les hommes.


“Limites et frontières dans la haute vallée de la Meurthe : axes et voies de communication et de transport dans l’Antiquité”

Par Jérémy Gracio, président de l’association Sentiers d’Histoires

“L’association Sentiers d’Histoires réalise depuis près de dix ans des prospections pédestres dans la haute vallée de la Meurthe. L’inventaire des découvertes sur le terrain, comme les pierre-bornes ou « menhirs », ainsi que les artefacts datés du néolithique final, permettent une première approche de l’organisation territoriale à cette époque. Pour les périodes suivantes et plus précisément à l’Âge du Fer et à la période romaine, le bassin de Saint-Dié-des-Vosges possède ses propres particularités à travers une dizaine d’habitats perchés fortifiés.
La reprise du mobilier anciennement découvert lors de chantiers de fouilles archéologiques, au XIXe et au XXe siècles, et la relecture de certains auteurs antiques comme Jules César, par exemple, permet d’avancer quelques hypothèses de travail pour tenter de comprendre les spécificités de ce territoire.
L’exploitation des gisements naturels comme la rhyolithe des Fossottes à La Salle, ou encore le minerai de fer, explique la mise en place de réseaux de communication et de transport terrestres et fluviaux dans la vallée de la Meurthe et par conséquent à travers le plateau lorrain.
Au contraire, l’étude des monnaies gauloises, de certaines formes céramiques, confirme l’existence d’échanges commerciaux tournés vers l’Est et la vallée du Rhin.
L’armement tardo-républicain, la construction d’un pont de bois ou encore l’enfouissement d’un trésor monétaire illustrent une période de troubles à la fin de l’indépendance gauloise. À l’époque romaine, la construction des sanctuaires se monumentalise à partir du IIe siècle de notre ère et servent de repères aux pèlerins sur la route dans cette partie Est des Vosges.”


Journées d’Histoire Régionale 2018, Voyages au coeur de l’Histoire : transports et communications.


“L’eau symbole de dignité urbaine et signe de l’action civilisatrice de l’Empire romain : fontaine monumentale et thermes sur le centre public de la petite ville de Bliesbruck”

par Jean-Paul PETIT, Conservateur en chef, Département de la Moselle, membre de l’Académie Nationale de Metz.

“Les monuments de l’eau occupent une place importante dans l’espace urbain car ils sont des véhicules de la représentation de l’Empire romain. Ces monuments occupent ainsi une place importante jusque dans les petites villes provinciales grâce aux élites locales qui reprennent ces thèmes de la propagande impériale. L’agglomération romaine de Bliesbruck (Moselle), dans la partie orientale de la cité des Médiomatriques, est un exemple remarquable de ce phénomène. Le centre public est occupé par des thermes qui partagent cette place avec une fontaine monumentale avec laquelle ils forment un véritable « axe de l’eau »”.

Les Journées d’Histoire Régionales de 2017, Histoire et patrimoine au fil de l’eau


“La fouille du « Parking de l’Esplanade » à Metz en 2006. Du rempart du Bas-Empire à la citadelle française du 16e siècle, impact de l’architecture défensive sur l’urbanisme à l’échelle d’un quartier de la ville”

Par Patrice Pernot, archéologue chargé d’opération à l’Inrap

“En 2006, la fouille du « Parking de l’Esplanade » à Metz a permis d’étudier sur une surface importante (5000 m²) l’évolution d’un quartier densément occupé depuis le 1er siècle. Avec celui du Pontiffroy, ce secteur de la ville est l’un des mieux documentés au travers des archives du sol (fouilles de l’Arsenal notamment).
Outre l’étude du bastion Saint-Pierre appartenant à la citadelle construite à partir de 1559, ensemble architectural assez bien connu grâce aux fonds archivistiques, l’opération archéologique devait aussi aborder la question du rempart antique, bien positionné plus au sud dans le périmètre du Palais du Gouverneur mais au parcours incertain vers le nord sur cette partie du plateau d’interfluve incliné vers la Moselle.
Malgré quelques incertitudes, l’opération archéologique a pu pour l’essentiel répondre à ces éléments de topographie historique. Une hypothèse probante du tracé du rempart gallo-romain peut être proposée. Son impact sur l’urbanisme de la ville antique est également maîtrisé à l’échelle de la fouille et peut être extrapolé au quartier. Les informations liées aux occupations médiévales sont plus ténues, mais suffisantes pour comprendre l’évolution du secteur durant cette longue période. Notamment, il est possible de préciser à quel moment la courtine antique a été abandonnée au profit d’une ligne de fortification positionnée plus bas dans la pente, vraisemblablement proche ou identique à celle connue actuellement. Au 16e siècle, la construction de la citadelle militaire correspond certainement à la plus grande transformation historique subie par la ville au regard de l’urbanisme préexistant. La structuration générale du bastion, ses aménagements internes ainsi que quelques évolutions ont été mis en évidence. L’influence de cet ensemble monumental restera majeure jusqu’à sa démolition, à la fin du 18e et au début du 19e siècle, et à la rétrocession à la ville des terrains qu’il occupait.

Colloque “La guerre et l’amée, une fabrique de la ville de l’Antiquité au XXIe siècle” (2016)


“Des vastes faubourgs à la ville corsetée : Metz et Strasbourg entre le XIIIe et le XVIIIe siècle”

Par Catherine Xandry, ATER en histoire et archéologie médiévale à l’université Jules Verne de Picardie

Si la ville du XIIIe siècle n’a pas grand-chose à voir avec celle du XVIIIe siècle, la guerre du XIIIe – dans sa pratique, dans la façon qu’ont les contemporains de l’envisager – est elle-même fort différente de celle du XVIIIe siècle. Évolution donc, dans chaque domaine, urbain et militaire… mais dans quelle mesure ces évolutions se répondent-elles ? S’il semble clair que les « progrès », innovations dans le domaine militaire, dans la poliorcétique, ont influés sur la mise en défense de la ville, est-ce que certaines pratiques urbaines ont elles-mêmes eu pour conséquence des actes offensifs particuliers ? Par ailleurs, quel est la part du quotidien et de l’exceptionnel dans les rapports entre la ville et la guerre ?
Dans cette optique, cette intervention souhaite retracer rapidement l’évolution spatiale des villes de Metz et de Strasbourg, plus particulièrement de leur péri-urbain, entre les XIIIe et XVIIIe siècle.
Alors qu’au XIIIe siècle, les villes de Strasbourg et de Metz bénéficient de vastes faubourgs assurant la transition entre l’espace intra-muros et la campagne les rendant largement ouvertes vers l’extérieur, elles se présentent au XVIII siècle comme des villes corsetées derrière leurs enceintes. Trois grandes phases émergent alors. Une phase de forte imbrication urbain-rural, la ville s’étendant largement au-delà de l’enceinte et des éléments ruraux, comme des champs, pouvant se trouver au sein de l’espace urbanisé. Par ailleurs des éléments urbains spécifiques mais n’existant pas intra-muros (comme les léproseries) sont présents sur la zone d’étude. Lui succède une phase d’intégration des faubourgs derrière l’enceinte, ou de leur destruction par la suite d’un siège ou d’une menace de siège. L’enceinte devient alors une frontière entre la ville et la campagne, même si des reliquats des anciens quartiers demeurent extra-muros. La municipalité délimite cet espace par un bornage. Des fonctions urbaines spécifiques y sont toujours présentes et de nouvelles apparaissent. La troisième phase est marquée par une séparation stricte des espaces intra- et extra-muros. La majeure partie de l’urbanisation se retranche derrière l’enceinte où apparaissent des fonctions spécifiques (salles de spectacles, arsenal, casernes etc.). De ce fait, l’enceinte, ou plutôt l’ensemble du système bastionné, marque une séparation nette entre la ville et la campagne où le contrôle de la ville est total. Elle gère l’espace en fonction ses besoins, que cela soit sa défense, son industrie, ses cimetières…

Colloque “La guerre et l’amée, une fabrique de la ville de l’Antiquité au XXIe siècle” (2016)


“Le bourg castral de Rodemack, sa forteresse et sa citadelle. Contraintes et opportunités de développement médiéval à l’époque moderne”

Par Jean-Denis LAFFITE, Archéologue ingénieur de recherche. UMR 7044 Strasbourg. ECR Rurland EPHE Paris.

Le bourg castral médiéval de Rodemack, sa forteresse et sa citadelle à l’Époque Moderne, époques luxembourgeoise et française : l’exemple d’une localité du « Luxembourg français » convoité par la France, et contrainte dans son développement par la présence militaire et son statut de bourg frontalier.

La restauration de la forteresse de Rodemack engagée sous la responsabilité des Monuments Historiques, a été l’occasion pour l’archéologie de revisiter le passé historique de ce site majeur du Luxembourg français. Les fouilles réalisées par l’Inrap de 2012 à 2014 sur plus d’un hectare des 3,5 ha de la « citadelle » héritée du XVIIIe s., permettent de retracer le contour des vestiges disparus médiévaux et modernes, antérieurs à 1815.

La forteresse militaire, perchée sur son rebord de plateau, forme un ensemble cohérent qui est intimement lié au bourg établi à ces pieds, et à son enceinte de type urbain, établie vers la fin du XIVe s. ou au début du XVe s. L’espace intra-muros d’environ 7 ha (2 fois la superficie de la forteresse) contient l’habitat d’origine médiéval, les places, les jardins de proximité, la paroisse, répartis spatialement en plusieurs quartiers et axés sur les deux portes seulement.

La recherche sur la morphologie spatiale de l’agglomération antérieure aux XVe-XVIe s. n’en ait qu’à ces débuts, mais une analyse régressive du parcellaire « urbain » basée sur l’étude des plans du XVIIIe s. et des faits archéologiques mis au jour dans la forteresse, permet de proposer des hypothèses quant à l’évolution du bourg castral étroitement soudé à son « burg », durant la fin du Moyen Âge.

Rodemack apparaît dans la « géopolitique » de l’époque Moderne comme une place « sentinelle » située à mi-chemin entre Luxembourg-ville et Thionville, principale place forte du Luxembourg sur la Moselle aux XVIe et XVIIe s. ; ce bourg castral de frontière a subi les multiples conflits de la France avec le Luxembourg, les Pays-Bas espagnols et l’Empire germanique, ceci du XVIe s. au début du XIXe s. Au XVIe s. les Margraves de Bade puis le gouverneur du Luxembourg Mansfeld firent de la forteresse médiévale une citadelle adaptée à l’artillerie. A la fin du XVIIe s., Louis XIV y fit installer des casernements et une poudrière pour l’infanterie et l’artillerie, Louis XV une « caserne neuve » ainsi qu’une chapelle Saint-Louis (fouillés en 2014), qui témoignent de la vie de la garnison.

Durant ces périodes, Rodemack est resté foncièrement un bourg de garnison militaire d’appoint dans l’ombre de Thionville, la place forte majeure, limité dans son développement par les destructions successives durant plus de 300 ans. L’étude du tracé de son enceinte et des fossés, des îlots d’habitat à partir des anciens plans militaires du XVIIIe s. (analyse spatiale) permet également de formuler des hypothèses urbanistiques sur son développement depuis la fin du Moyen Âge.

Colloque “La guerre et l’amée, une fabrique de la ville de l’Antiquité au XXIe siècle” (2016)


“Quelques problématiques de l’alimentation du combattant de la Grande Guerre à travers l’archéologie”

Par Michaël LANDOLT, ingénieur d’études, service régional de l’archéologie – DRAC Lorraine, chercheur associé UMR7044 Archimède.

“Le développement de l’archéologie de la Première Guerre mondiale en France depuis quelques années s’est récemment accompagné d’une définition de nouvelles problématiques d’études. Parmi celles-ci, l’étude archéologique des dépotoirs vient véritablement compléter notre vision de la Grande Guerre. De nombreux éléments, issus du mobilier rejeté dans ces structures, sont à mettre en relation avec l’alimentation. L’évocation par les soldats des conditions alimentaires au front et au repos est trop souvent parcellaire et anecdotique. Ainsi, les objets et les restes alimentaires qui leurs sont liés méritent une attention particulière car ils contiennent une quantité d’informations encore sous exploitées.

Même si ces vestiges ont malheureusement souvent été délaissés, au profit des fouilleurs clandestins, les études scientifiques démontrent aujourd’hui le potentiel documentaire de ce mobilier. A partir de corpus principalement issus de Champagne-Ardenne, Lorraine et Alsace, l’alimentation des soldats allemands et français pourra être abordée. L’accent sera donné sur les spécificités de chaque belligérant à partir de quelques exemples caractéristiques (boissons, condiments, conserves, viande…). Cette étude comparative pluridisciplinaire développera plusieurs problématiques depuis la fabrication des aliments jusqu’au rejet des restes alimentaires. Les thématiques suivantes seront par exemple abordées :

– les circuits d’approvisionnement (officiels et personnels),
– les types de contenants adaptés à la guerre,
– les matériaux des contenants (métal, verre, céramique, grès, faïence et porcelaine),
– l’origine et la fabrication des contenants,
– la pénurie et le détournement de contenants,
– la figuration patriotique sur les contenants,
– l’alimentation carnée à travers l’archéozoologie,
– l’hygiène alimentaire à travers la paléoparasitologie,
– les objets liés à la prise du repas avec la récupération d’objets,
– l’élimination des déchets alimentaires (ensevelissement, destruction et recyclage).”

Colloque boire et manger en Lorraine de l’Antiquité au XXIe siècle – 2015.


La viticulture en Lorraine de l’Antiquité aux Temps modernes à travers l’archéologie préventive. État des connaissances

Par Renée LANSIVAL – Ingénieur chargé de recherche et INRAP Julian WIETHOLD – Docteur, chargé opération et de recherche – INRAP

Colloque boire et manger en Lorraine de l’Antiquité au XXIe siècle – 2015.

 


“Limites et frontières dans la haute vallée de la Meurthe : axes et voies de communication et de transport dans l’Antiquité” 

Par Jeremy GRACIO, président de l’association Sentiers d’Histoires.

Journée d’Histoire Régionale 2018 : « Voyages au cœur de l’Histoire, transports et communications » – Samedi 5 et dimanche 6 mai – Saint-Dié-des-Vosges.

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“Le textile dans le rituel funéraire du premier Âge du Fer.
L’apport exceptionnel de quelques découvertes anciennes conservées au Musée historique de Haguenau”

Par Fabienne MEDARD, docteur en Archéologie UMR 7044 – CNRS-Université de Strasbourg et Émilie DEMONGIN, régisseur pour les collections archéologiques
Musée historique de Haguenau.

Colloque Histoire et patrimoine textile du Grand Est de l’Antiquité au XXIe siècle organisé par le CHR le 30 novembre 2017 à l’écomusée textile de Husseren-Wesserling.

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“Transformer la fibre végétale et produire du fil à la fin du Haut Empire: le cas de la villa de Grigy à Metz”

Par Gaël BRKOJEWITSCH, docteur en archéologie

Colloque Histoire et patrimoine textile du Grand Est de l’Antiquité au XXIe siècle organisé par le CHR le 30 novembre 2017 à l’écomusée textile de Husseren-Wesserling.

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“Une archéologie de la filière textile chez les Trévires et leurs voisins à partir de la documentation funéraire (IIe siècle av. J.-C. – IIe siècle ap. J.-C.)”

Par Jenny KAURIN, conservateur du patrimoine, Service Régional de l’Archéologie DRAC Centre-Val de Loire Docteur en archéologie.

Colloque Histoire et patrimoine textile du Grand Est de l’Antiquité au XXIe siècle organisé par le CHR le 30 novembre 2017 à l’écomusée textile de Husseren-Wesserling.

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La maçonnerie en épi : une technique de construction spécifique aux ouvrages militaires des X-XIIe siècles ?

Par Cédric Moulis, ingénieur d’études – Université de Lorraine, HisCAnt-MA, président de Nord-Est Archéologie

Colloque Conflits et progrès scientifiques et techniques et Lorraine 2014.

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Guerre et progrès chez les Gaulois : une relation ambiguë

Par Gérard Bataille, chercheur à l’INRAP, Jenny Kaurin, Post-Doctorante, CNRS et  Stéphane Marion, Ingénieur de Recherche Service Régional de l’Archéologie en Lorraine.

Colloque Conflits et progrès scientifiques et techniques et Lorraine 2014.

Accéder aux actes du colloque sur le site de l’éditeur

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